Tous les midis on essaye de prendre des nouvelles autour de nous : animation, Ă©ducation populaire, quartiers, prisons, …
Voici une tentative de compilation de ces témoignages sonores :
Intermittent.e.s et travailleur.euse.s de la Kulture
Lecture du Soliguide en Sousou par TAMO
Nous aussi, l’Ă©mission
Présentation de la Brigade Populaire à Nantes
đ·POUR UNE AUTODĂFENSE SANITAIRE : BRIGADES DE SOLIDARITĂ POPULAIRE !đ·
C’est ici pour une prĂ©sentation audio
đŽPour rejoindre les Brigades de SolidaritĂ© Populaires nantaises :
âĄïžĂcrivez-nous : @ brigadepopulaire-nantes@protonmail.com
đŽSi vous avez besoin dâaide notamment pour effectuer Ă votre place un dĂ©placement au supermarchĂ©, Ă la pharmacie, Ă la laverie, ⊠:
âĄïžContactez-nous par mail : @ brigadepopulaire-nantes@protonmail.com
par téléphone : 07.58.58.12.71
Extrait de la page facebook :
Dans le grand ouest, si nous faisons partie des rĂ©gions les moins touchĂ©es par lâĂ©pidĂ©mie, le virus circule. Comme ailleurs, les travailleur.euses prĂ©caires souvent issu.e des quartiers populaires, en premiĂšre ligne face au Covid-19, manquent de protection. De mĂȘme que le personnel soignant qui doit faire face Ă cette crise sanitaire alors mĂȘme quâil dĂ©nonce depuis longtemps un manque de moyens humains et matĂ©riels pour soigner dignement les malades. Face au confinement, les personnes les plus vulnĂ©rables subissent dâautant plus leur isolement. Les personnes ĂągĂ©es dont les possibilitĂ©s de dĂ©placement sont limitĂ©es ont difficilement accĂšs aux produits de premiĂšre nĂ©cessitĂ©. La fermeture de certaines permanences sociales fragilise les familles prĂ©caires. Celle des parloirs isole les personnes dĂ©tenu.es de leurs proches. La rĂ©duction des maraudes affame et isole les personnes sans domicile et notamment les personnes exilĂ©es qui se trouvent dâautant plus exposĂ©es Ă une police en roue libre qui profite de la dĂ©sertion des rues pour dĂ©chaĂźner sa violence. Les travailleuses du sexe sont elles aussi dâautant plus exposĂ©es Ă cette violence et Ă celle de leurs clients quâelles sont encore plus seules dans la rue. Bref, la dĂ©tresse des personnes isolĂ©es est dâautant plus grande que le confinement limite leur sociabilitĂ©.
đŽFace Ă ce constat et parce que nous nâavons rien Ă attendre de lâĂtat, organisons la solidaritĂ© et mettons le face Ă ses responsabilitĂ©s !
Nous savons que le gouvernement n’est pas une solution Ă la crise sanitaire. Pourquoi ? Parce que, comme ses prĂ©dĂ©cesseurs, il est au service d’un systĂšme basĂ© sur le profit et l’intĂ©rĂȘt privĂ© qui est Ă l’origine du dĂ©sastre que nous connaissons, et de la situation dramatique dans laquelle se trouve l’hĂŽpital public.
Nous savons qu’il nous faudra compter sur nos propres forces. Notre auto-organisation doit gĂ©nĂ©rer des solidaritĂ©s concrĂštes, sur une base territoriale, afin de venir en aide aux plus prĂ©caires : travailleur.euse.s, soignant.e.s, migrant.e.s, personnes sans domicile fixe, personnes ĂągĂ©es et/ou isolĂ©es âŠ
Mais ce rĂ©seau de solidaritĂ© doit aussi s’articuler Ă une mise en accusation des politiques nĂ©o-libĂ©rales, dont la situation actuelle, en France comme ailleurs, dĂ©montre une fois de plus la nature criminelle, et Ă l’Ă©laboration de nouvelles formes d’organisation collective.
Dans le grand ouest, si nous faisons partie des rĂ©gions les moins touchĂ©es par lâĂ©pidĂ©mie, le virus circule. Comme ailleurs, les travailleur.euses prĂ©caires souvent issu.e des quartiers populaires, en premiĂšre ligne face au Covid-19, manquent de protection. De mĂȘme que le personnel soignant qui doit faire face Ă cette crise sanitaire alors mĂȘme quâil dĂ©nonce depuis longtemps un manque de moyens humains et matĂ©riels pour soigner dignement les malades. Face au confinement, les personnes les plus vulnĂ©rables subissent dâautant plus leur isolement. Les personnes ĂągĂ©es dont les possibilitĂ©s de dĂ©placement sont limitĂ©es ont difficilement accĂšs aux produits de premiĂšre nĂ©cessitĂ©. La fermeture de certaines permanences sociales fragilise les familles prĂ©caires. Celle des parloirs isole les personnes dĂ©tenu.es de leu rs proches. La rĂ©duction des maraudes affame et isole les personnes sans domicile et notamment les personnes exilĂ©es qui se trouvent dâautant plus exposĂ©es Ă une police en roue libre qui profite de la dĂ©sertion des rues pour dĂ©chaĂźner sa violence. Les travailleuses du sexe sont elles aussi dâautant plus exposĂ©es Ă cette violence et Ă celle de leurs clients quâelles sont encore plus seules dans la rue. Bref, la dĂ©tresse des personnes isolĂ©es est dâautant plus grande que le confinement limite leur sociabilitĂ©.
đŽFace Ă ce constat et parce que nous nâavons rien Ă attendre de lâĂtat, organisons la solidaritĂ© et mettons le face Ă ses responsabilitĂ©s !
Nous savons que le gouvernement n’est pas une solution Ă la crise sanitaire. Pourquoi ? Parce que, comme ses prĂ©dĂ©cesseurs, il est au service d’un systĂšme basĂ© sur le profit et l’intĂ©rĂȘt privĂ© qui est Ă l’origine du dĂ©sastre que connaissons, et de la situation dramatique dans laquelle se trouve l’hĂŽpital public.
Nous savons qu’il nous faudra compter sur nos propres forces. Notre auto-organisation doit gĂ©nĂ©rer des solidaritĂ©s concrĂštes, sur une base territoriale, afin de venir en aide aux plus prĂ©caires : travailleur.euse.s, soignant.e.s, migrant.e.s, personnes sans domicile fixe, personnes ĂągĂ©es et/ou isolĂ©esâŠ
Mais ce rĂ©seau de solidaritĂ© doit aussi s’articuler Ă une mise en accusation des politiques nĂ©o-libĂ©rales, dont la situation actuelle, en France comme ailleurs, dĂ©montre une fois de plus la nature criminelle, et Ă l’Ă©laboration de nouvelles formes d’organisation collective.
Plusieurs villes d’Italie, de France, d’Espagne et d’Allemagne rĂ©pondent Ă l’appel des camarades de Milan : FORMONS DES BRIGADES DE SOLIDARITE POPULAIRE !
đŽPour rejoindre les Brigades de SolidaritĂ© Populaires nantaises :
âĄïžĂcrivez-nous : @ brigadepopulaire-nantes@protonmail.com
đŽSi vous avez besoin dâaide notamment pour effectuer Ă votre place un dĂ©placement au supermarchĂ©, Ă la pharmacie, Ă la laverie, ⊠:
âĄïžContactez-nous par mail : @ brigadepopulaire-nantes@protonmail.com
par téléphone : 07.58.58.12.71
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